- EAN13
- 9782251912080
- Éditeur
- Les Belles Lettres
- Date de publication
- 18/10/2018
- Collection
- Le Goût de l'Histoire
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Fiches UNIMARC
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Cette « Rue sans joie », étroite bande de terre entre mer et montagnes de
l’Annam, théâtre de combats meurtriers, fut l’un des hauts lieux de cette
guerre d’Indochine qui a dominé la politique française de 1946 à 1954 et dont
le souvenir a pesé lourdement sur le drame algérien. Renaissant de ses cendres
en 1957, elle n’a cessé ensuite de poser un problème insoluble aux États-Unis.
Incapables de résoudre leurs propres contradictions, le Laos et les deux Viêt-
Nam n’en sont pas moins venus à bout des meilleures armées du monde. Pourquoi
et comment ? Bernard Fall qui a fait de ce lieu un symbole du désastre
indochinois répond à ces deux questions avec l’autorité d’un spécialiste du
Sud-Est asiatique et de la guerre subversive. Il est le seul écrivain à avoir
eu accès aux archives officielles du Corps Expéditionnaire d’Indochine. Mais
sa réponse est également celle du témoin direct. Ni militaire, ni journaliste,
il a participé sur le terrain aux opérations, parfois sur les arrières
ennemis, et recueilli de la bouche même des rescapés le récit des atroces
embuscades qui marquèrent cette guerre. Témoin capital de l’agonie française
en Indochine, il en a écrit le maître-livre.
l’Annam, théâtre de combats meurtriers, fut l’un des hauts lieux de cette
guerre d’Indochine qui a dominé la politique française de 1946 à 1954 et dont
le souvenir a pesé lourdement sur le drame algérien. Renaissant de ses cendres
en 1957, elle n’a cessé ensuite de poser un problème insoluble aux États-Unis.
Incapables de résoudre leurs propres contradictions, le Laos et les deux Viêt-
Nam n’en sont pas moins venus à bout des meilleures armées du monde. Pourquoi
et comment ? Bernard Fall qui a fait de ce lieu un symbole du désastre
indochinois répond à ces deux questions avec l’autorité d’un spécialiste du
Sud-Est asiatique et de la guerre subversive. Il est le seul écrivain à avoir
eu accès aux archives officielles du Corps Expéditionnaire d’Indochine. Mais
sa réponse est également celle du témoin direct. Ni militaire, ni journaliste,
il a participé sur le terrain aux opérations, parfois sur les arrières
ennemis, et recueilli de la bouche même des rescapés le récit des atroces
embuscades qui marquèrent cette guerre. Témoin capital de l’agonie française
en Indochine, il en a écrit le maître-livre.
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