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Les nouveautés Poche

Nous les avons lus lors de leur sortie, nous les avons aimés, ils sortent en Poche et nous vous invitons à les découvrir !

Éditions Gallmeister

12,60

À quatorze ans, Turtle Alveston arpente les bois de la côte nord de la Californie avec un fusil et un couteau pour seuls compagnons. Mais si le monde extérieur s’ouvre à elle dans toute son immensité, son univers familial est étroit et menaçant : Turtle a grandi seule, sous l’emprise d’un père charismatique et abusif. Jusqu’au jour où elle rencontre Jacob, un lycéen blagueur qu’elle intrigue et fascine à la fois. Poussée par cette amitié naissante, Turtle décide alors d’échapper à son père et plonge dans une aventure sans retour où elle mettra en jeu sa liberté et sa survie.

À propos du livre
Un livre lauréat du Prix America du meilleur roman étranger, Prix de l’Héroïne de Madame Figaro, Prix Marianne d’Un aller-retour dans le Noir, Prix Libr’à nous, Prix Lucioles des lecteurs et prix Mystère de la critique

Dans la presse
Un amour absolu, intransigeant, abominable, qui rappelle un personnage de mythes : l’ogre. L’ogre, ça vient du latin orcus, c’est-à-dire lié au monde des morts. Un homme sauvage qui mange les petits enfants, et pas du tout théoriquement parlant. On le sait depuis toujours, les enfants vivent parfois des choses abominables, parfois ils s’en sortent.
Juliette Arnaud, FRANCE INTER

Le roman le plus puissant, le plus dérangeant, et le plus profond que j'ai lu depuis des années.
François Busnel, LA GRANDE LIBRAIRIE - FRANCE 5


Le monde peut devenir si petit qu'il se résume à un seul être humain. À un homme minuscule dans un fjord abandonné d'Islande, qui se souvient : comment toute communication avec le monde extérieur fut soudain coupée, quelle fut la réaction du gouvernement, des médias, de la population. Quelle fut la sienne, journaliste politique flirtant avec les sphères du pouvoir, en couple avec Maria, musicienne d'origine étrangère.
Le pays, obsédé par son passé, croit pouvoir vivre en autarcie, rejette ce qui n'est pas islandais, et réactive les peurs ancestrales. Faire face à la faim, dans un pays de volcans cerné par les eaux. Comme un piège qui se referme.


9,00

À la fin des années 1930, Eugenia, une jeune et brillante étudiante roumaine tombée sous le charme d'un écrivain d'origine juive, prend soudain conscience de la vague de haine antisémite qui se répand autour d'elle. Comment lutter, quand tout le monde semble hypnotisé par la tentation de la barbarie ?Avec pour toile de fond l'ascension du fascisme européen, ce roman foisonnant revient sur un épisode méconnu de la Seconde Guerre mondiale, l'effroyable pogrom de Jassy. Portrait d'une femme libre, animée par le besoin insatiable de comprendre l'origine du mal, ce livre est aussi une mise en garde contre le retour des heures les plus sombres de l'Histoire.


7,70

Les mots des autres m’ont nourrie, portée, infusé leur énergie et leurs émotions. Jusqu’à la mort de mon frère, le 14 octobre 2015 à Montréal, je ne voyais pas la nécessité d’écrire. Le suicide d’Alex m’a transpercée de chagrin, m’a mise aussi dans une colère folle. Parce qu’un suicide, c’est la double peine, la violence de la disparition génère un silence gêné qui prend toute la place, empêchant même de se souvenir des jours heureux.
Moi, je ne voulais pas me taire.
Alex était un être flamboyant, il a eu une existence belle, pleine, passionnante, aimante et aimée. Il s’est battu contre la mélancolie, elle a gagné. Raconter son courage, dire le bonheur que j’ai eu de l’avoir comme frère, m’a semblé vital. Je ne voulais ni faire mon deuil ni céder à la désolation. Je désirais inventer une manière joyeuse d’être triste.

O.L.

Une vibrante ode à la vie. Nathalie Crom, Télérama.

Un grand premier livre, portrait posthume splendide et déchirant. Frédéric Beigbeder, Le Figaro Magazine.

Bouleversant mais incroyablement riche et vivant, ce livre est une leçon de vie pour chacun. Lydia Bacrie, L’Express diX.

Prix Renaudot de l’essai 2018.


5,90

Chez ceux qui ont tout, je n'ai jamais vu de famille aller voir la mer pour fêter une décision politique, parce que pour eux la politique ne change presque rien. [...] Pour les dominants, le plus souvent, la politique est une question esthétique : une manière de se penser, une manière de voir le monde, de construire sa personne. Pour nous, c'était vivre ou mourir.
É. L.

« L'histoire de ton corps accuse l'histoire politique. »