22 modèles d'origamis faciles à réaliser : de nombreux animaux (cygne, poule, grenouille, escargot, souris, chien, etc.), mais aussi un arbre, une carriole et même une maison pour leur créer un décor !
Chaque modèle est expliqué au moyen d'un pas à pas, dont chaque étape est accompagnée d'un schéma explicatif très clair.
Au début de chaque modèle : un code couleurs  indique le niveau de difficulté.

En fin d'ouvrage, des papiers imprimés à détacher et à découper permettront à l'enfant de réaliser plusieurs fois le même modèle ; un  plateau de jeu dépliable  permet de poser ses réalisations et s’inventer des histoires !

Ampoules, digestion difficile, fatigue, nausées, piqûres d’insectes… mais aussi cosmétiques maison, massages drainants et décontractants, soins de la peau…

Dans ce livre 2-en-1, découvrez des remèdes, des conseils et des astuces bien-être, des zooms sur les ingrédients naturels… pour soigner les petits maux du quotidien, prendre soin de soi, et retrouver forme et énergie !

100% santé
Lait d’argile, infusion de thym, gargarisme au citron, sirop à base de miel, cure de pollen, compresse de lavande…

100% beauté 
Masque anti-cernes, dentifrice fraîcheur, lotion anti-rides, gommage désincrustant, lotion tonique, huile de soin, bain relaxant, massage drainant…

Donnez une nouvelle vie à votre intérieur grâce à ces 45 DIY simples et design !
Grâce à ce livre très accessible aux débutants, apprenez à réaliser vous-même des meubles et objets de décoration dignes des enseignes les plus en vogue !
Entrez dans l'univers bohème et minimaliste de Flavie Peartree et découvrez pas à pas : - Le matériel pour se lancer - Des pas à pas photos pour apprendre les gestes de base : percer, découper, installer un luminaire... - 45 DIY en pas à pas pour meubler et décorer le séjour, la chambre, la salle de bain et le bureau : étagère suspendue, pouf bouclette, lustres, lampes de table, guéridon, table basse, table de chevet, appliques, tapis, banc, tête de lit, échelle, miroir en cannage, rangement mural, table d'appoint, étagère arche...
Amoureux du DIY et des beaux objets, lancez-vous !

Ce Dictionnaire amoureux contient à la fois de l'amour, des souvenirs, des admirations et des regrets. Il est la mémoire de ceux qui s'intéressent au football, et l'attendent tous les 4 ans, comme de ceux qui ne s'y intéressent pas, mais se souviennent être descendus dans la rue. Parce que la Coupe du monde est ce qu'il restera de ce jeu quand nous aurons oublié tout le reste.
Arpenter amoureusement la Coupe du monde, c'est plonger au cœur de la mythologie du football et de notre mémoire collective. On dit Coupe du monde, il n'est jamais nécessaire de préciser " de football ", et cette évidence en majesté, qui tient à l'antériorité comme à l'audience planétaire, oblige les autres sports à se décliner.La Coupe du monde aura bientôt 100 ans et elle s'étend sur deux siècles qu'elle a participé à raconter. Elle ne s'est jamais écartée des tremblements ni de la marche du monde, visitant l'Italie de Mussolini en 1934, l'Argentin des généraux en 1978 ou la Russie de Poutine en 2018, refondant l'idée de la nation allemande avec le Miracle de Berne en 1954, affichant la force d'une France métissée en 1998.Elle a essaimé des épopées collectives qui ont parfois reposé sur la victoire (le Brésil de 1970) mais parfois sur un esthétisme de la défaite (les Pays-Bas de 1974, la France et le Brésil de 1982) : Séville reste un nom de code et une douleur française. La Coupe du monde, aussi, surtout, a fixé les admirations sur quelques Dieux du stade et quelques héros de tragédie. Elle a fait de Pelé un roi, de Cruyff un prince, de Maradona un diable avec la main de Dieu, de Zidane une icône retirée sur un coup de tête. La Coupe du monde a fait le sport, le football et ses personnages. Elle est la première à être entrée dans le salon, en noir et blanc puis en couleurs.

" Plus vite, plus haut, plus fort ", " Que le meilleur gagne ! " : que disent ces devises sportives de notre humanité ?
La règle sportive peut-elle être universalisable ? Elle peut l'être, certainement, en ce qu'elle peut valoir en tout lieu. En revanche, elle ne l'est sans doute pas au sens moral du terme. Peut-on universaliser comme élément moral " plus vite, plus haut, plus fort " et que le plus fort l'emporte selon la maxime " Que le meilleur gagne ! " ?
Pour Axel Kahn, le sport est un terrain d'ombre et de lumière. À la suite d'Emmanuel Kant, il rappelle ainsi que les hommes ne sont pas des choses – et si les choses, la performance ou les records ont une valeur toute relative, les personnes, les athlètes ont une valeur absolue. " Agis de telle sorte que tu traites toujours l'humanité, en toi-même et en autrui, comme une fin et jamais comme un moyen. "