- EAN13
- 9782264084934
- ISBN
- 978-2-264-08493-4
- Éditeur
- 10-18
- Date de publication
- 20/02/2025
- Collection
- POLAR (UGE 006040)
- Nombre de pages
- 384
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Mélangez guerre de cartels mexicains, junkies, divinités vengeresses et un père prêt à tout pour sauver sa famille, et vous obtiendrez le cocktail explosif que vous tenez entre les mains. Gabino Iglesias maîtrise à la perfection la recette du barrio noir, ce conjuguant thriller baroque, syncrétisme latino et douleur du déracinement.
Cartels mexicains, junkies azimutés, divinités vengeresses : un cocktail explosif que vous tenez entre les mains
Austin, Texas. Lorsqu'on diagnostique une maladie foudroyante à sa fille, le monde de Mario s'écroule. Désespéré, il contacte Brian, un ancien collègue devenu dealer de meth. Celui-ci lui propose un marché d'une effroyable simplicité : la vie d'un homme, contre 6 000 dollars. Sans hésitation, Mario accepte. Et découvre que la violence est un excellent remède à la colère qui l'habite. Mais La Huesuda, la déesse de la mort, plane sur son existence. Et la tragédie le frappe à nouveau. Lorsqu'il accepte une ultime mission pour un cartel de Juarez, la spirale de violence qui se déchaine alors finit de le convaincre qu'il n'aurait jamais dû ouvrir la porte au diable.
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Pierre Szczeciner
Cartels mexicains, junkies azimutés, divinités vengeresses : un cocktail explosif que vous tenez entre les mains
Austin, Texas. Lorsqu'on diagnostique une maladie foudroyante à sa fille, le monde de Mario s'écroule. Désespéré, il contacte Brian, un ancien collègue devenu dealer de meth. Celui-ci lui propose un marché d'une effroyable simplicité : la vie d'un homme, contre 6 000 dollars. Sans hésitation, Mario accepte. Et découvre que la violence est un excellent remède à la colère qui l'habite. Mais La Huesuda, la déesse de la mort, plane sur son existence. Et la tragédie le frappe à nouveau. Lorsqu'il accepte une ultime mission pour un cartel de Juarez, la spirale de violence qui se déchaine alors finit de le convaincre qu'il n'aurait jamais dû ouvrir la porte au diable.
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Pierre Szczeciner
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