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Le marché financier français au XIXe siècle, Aspects quantitatifs des acteurs et des instruments à la Bourse de Paris
EAN13
9782859445744
ISBN
978-2-85944-574-4
Éditeur
Publications de la Sorbonne
Date de publication
Collection
OECONOMICA SORB
Séries
Le marché financier français au XIXe siècle (2)
Nombre de pages
640
Dimensions
24 x 16 x 3,7 cm
Poids
1038 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
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2 - Le marché financier français au XIXe siècle

Aspects quantitatifs des acteurs et des instruments à la Bourse de Paris

Publications de la Sorbonne

Oeconomica Sorb

Indisponible

Autre livre dans la même série

L'objectif de cet ouvrage est de présenter la Bourse de Paris au XIXe siècle sous un point de vue « quantitativiste », en utilisant les concepts et les calculs de la finance moderne. Les principaux aspects de la Bourse sont analysés et chiffrés par une équipe pluridisciplinaire d'historiens, d'économistes et de financiers, chaque étude apportant son lot de révélations.
Les agents de change : une profession risquée, marquée par de nombreuses faillites.
La coulisse: une institution extraordinairement active, totalement interdite par la loi.
Les rentes d'État : leur indice, calculé pour la première fois, montre qu'elles ont été plus risquées que les actions pendant près des deux tiers du XIXe siècle.
La rente 3 % : rente emblématique, née du « Milliard des Émigrés ».
Les emprunts de la Ville de Paris : ils reflètent la vie politique, économique et sociale d'une métropole qui est aussi une capitale.
Les actions françaises cotées : elles retracent l'industrialisation progressive de la France. L'indice général, calculé pour la première fois, démontre la similitude du krach des chemins de fer en 1847-1848 et de la bulle technologique de 2002.
La construction des canaux : réussite méconnue de la Restauration, son financement par la Bourse constitue un montage étonnant.
Les compagnies d'assurances qui offrent de véritables actions « en or » mais dont la technique de cotation est un véritable casse-tête.
Le marché à terme et celui des options (appelées « primes ») : au moins aussi modernes que les marchés dérivés actuels.
Enfin, il est impossible de parler du XIXe siècle sans faire référence à la libre circulation de l'or et de l'argent. Le mécanisme « des points d'or » a non seulement bien fonctionné mais il existait également pour l'argent.
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