- EAN13
- 9782738134639
- ISBN
- 978-2-7381-3463-9
- Éditeur
- Odile Jacob
- Date de publication
- 14/09/2016
- Collection
- OJ.LITTERATURE
- Nombre de pages
- 228
- Dimensions
- 22 x 14,5 x 1,2 cm
- Poids
- 306 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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La plume et le pinceau
L'empreinte de la peinture sur le roman au XIXe siècle
De Anka Muhlstein
Odile Jacob
Oj.Litterature
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Les grands romanciers du XIXe et du début
du XXe siècle, notamment Balzac, Stendhal,
les frères Goncourt, Zola, Maupassant et
Proust, ont en commun un intérêt passionné
pour la peinture, intérêt qui les a tous amenés
à inventer de nombreux personnages
de peintres, incités à regarder et à écrire
en peintres et souvent à se transformer en
critiques d’art. Balzac aurait voulu écrire
avec les couleurs de Delacroix, Zola, initié
à la peinture par Cézanne, son ami d’enfance,
s’inspirait de Manet ou de Degas
pour décrire ses sujets, et Bergotte, l’écrivain
fictif de Proust, meurt en regrettant de
ne pas avoir écrit avec l’art de Vermeer.
Intriguée par ce trait si caractéristique de
la littérature française, Anka Muhlstein
s’est attachée à montrer l’union intime de
la peinture et de la littérature pendant cette
période, facilitée par l’accès, alors unique
en Europe, au musée et stimulée par l’étonnante
camaraderie d’un groupe d’artistes
étroitement unis, prompts à s’encourager
les uns les autres.
du XXe siècle, notamment Balzac, Stendhal,
les frères Goncourt, Zola, Maupassant et
Proust, ont en commun un intérêt passionné
pour la peinture, intérêt qui les a tous amenés
à inventer de nombreux personnages
de peintres, incités à regarder et à écrire
en peintres et souvent à se transformer en
critiques d’art. Balzac aurait voulu écrire
avec les couleurs de Delacroix, Zola, initié
à la peinture par Cézanne, son ami d’enfance,
s’inspirait de Manet ou de Degas
pour décrire ses sujets, et Bergotte, l’écrivain
fictif de Proust, meurt en regrettant de
ne pas avoir écrit avec l’art de Vermeer.
Intriguée par ce trait si caractéristique de
la littérature française, Anka Muhlstein
s’est attachée à montrer l’union intime de
la peinture et de la littérature pendant cette
période, facilitée par l’accès, alors unique
en Europe, au musée et stimulée par l’étonnante
camaraderie d’un groupe d’artistes
étroitement unis, prompts à s’encourager
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