- EAN13
- 9782207106884
- Éditeur
- Denoël
- Date de publication
- 23/05/2012
- Collection
- Romans français
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Histoires vraies/La vie dangereuse/D'Outremer à indigo/Vigo un bel éclat de rire
Blaise Cendrars
Denoël
Romans français
«Après le poète, le romancier, l'essayiste, le voyageur - il faut parler du
conteur.» Le conseil de Cendrars à Jacques-Henry Lévesque n'a rien perdu de
son actualité : redécouvrons le conteur des «histoires vraies» qui ne se lasse
pas d'inventorier la diversité du monde et d'en célébrer les beautés, tout en
débusquant à chaque pas la part du mystère. Comme un reporter ? Mais alors à
la façon d'un Victor Hugo glanant des Choses vues en visionnaire autant qu'en
observateur. Pas d'histoire vraiment vraie qui ne révèle la présence de ce qui
se dérobe : un passage secret qui conduit dans la Banque d'Angleterre,
l'énigme d'une fleur de l'Orénoque, les ombres qui hantent une propriété
délaissée du Brésil, l'abîme sans fond des passions amoureuses sous tous les
climats.Au cours de la seconde moitié des années trente, Cendrars écrit
régulièrement dans la grande presse, surtout dans Paris-Soir. Avec ses
reportages, il publie des nouvelles au ton singulier, les «histoires vraies»
qu'il recueille dans trois volumes : Histoires vraies (1937), La Vie
dangereuse (1938), et D'Oultremer à Indigo (1940), réunis ici pour la première
fois.
conteur.» Le conseil de Cendrars à Jacques-Henry Lévesque n'a rien perdu de
son actualité : redécouvrons le conteur des «histoires vraies» qui ne se lasse
pas d'inventorier la diversité du monde et d'en célébrer les beautés, tout en
débusquant à chaque pas la part du mystère. Comme un reporter ? Mais alors à
la façon d'un Victor Hugo glanant des Choses vues en visionnaire autant qu'en
observateur. Pas d'histoire vraiment vraie qui ne révèle la présence de ce qui
se dérobe : un passage secret qui conduit dans la Banque d'Angleterre,
l'énigme d'une fleur de l'Orénoque, les ombres qui hantent une propriété
délaissée du Brésil, l'abîme sans fond des passions amoureuses sous tous les
climats.Au cours de la seconde moitié des années trente, Cendrars écrit
régulièrement dans la grande presse, surtout dans Paris-Soir. Avec ses
reportages, il publie des nouvelles au ton singulier, les «histoires vraies»
qu'il recueille dans trois volumes : Histoires vraies (1937), La Vie
dangereuse (1938), et D'Oultremer à Indigo (1940), réunis ici pour la première
fois.
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